Oktober fest, Wiesn, Fête de la bière...

.... appelez ça comme vous voulez, mais qui pose le pied à Munich durant ces 3 semaines qui marquent la fin de l'été, se fera propulser ma foi vers les hauts sommets de l'élégance bavaroise. En effet, sous ses airs gentils de fête foraine ouverte-à-tous-même-aux-tout-petits, se cache... ZE tentes! 

Mon premier contact avec ces festivités fut... agressif. En fait, je venais à peine de poser le pied dans l'appartement après mon odyssée turque en période de Ramadan (donc d'extrême privation de bouffe, alcool, tout ce que vous voudrez). J'y avais bu du thé du matin au soir et mangé des baklavas par centaines, j'étais donc bien résolue à manger du "maison" et à me faire une "detox" de légumes. Je venais donc à peine de déposer mon sac et de faire des mamours à Antoine et Valoche, que l'ultimatum est arrivé: "nooooon Nanou ne cuisine pas ce soir!! Il FAUT aller au Wiesn, avant 20h en plus, parce que sans ça JAMAIS on va pouvoir y'aller!! Disouidisouidisoui!!!" S'en est suivie une grande épopée accompagnée de mes deux mâles surexcités de colocs, qui ne savaient plus où donner de la tête devant toutes ces poulettes arborant fièrement le décolleté bavarois. De mon côté, j'ai compris pourquoi la grande vedette de l'événement était appelée "Mass"bier: un véritable coup de masse sur la tête qui ne vous épargne 

pas le lendemain matin, en plus de vous laisser cette vague impression que quelques moments de cet événement historique vous ont échappé pour toujours... Nous nous sommes bien marrés en voyant quelques photos le lendemain, et bon étant donné que c'est très rare que je publie ici des histoires grivoises, et qu'il faut de tout pour faire un monde, je vais en mettre quelques-unes, pas trop compromettantes, histoire de vous faire profiter un tantinet de l'atmosphère d'amour et d'amitié! :)

Pour les curieux qui voudraient un jour venir y faire un tour, l'ambiance est très festive, mais plus relaxe sur semaine... En effet, samedi nous avons été mêlés au "week-end italien", un rendez-vous de tous les hommes les plus machos de la géographie mondiale (combiné à la petite robe, imaginez le taux de testostérone dans l'air). L'expression "noir de monde" était tout-à-fait appropriée.

Vous vous rappelez quand j'étais consternée par la "froideur" allemande et l'absence de contacts entre les gens? Vous vous douterez bien que le Wies'n semble donc faire office d'exutoire de chaleur humaine, et on s'y laisse tous aller sans trop de pudeur! 

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Outre mon court séjour à Munich, je suis allée voir dans ma petite ville de Miltenberg pour faire des recherches d'appartements sur place. Finalement, les gens de mon école ont passé beaucoup moins de temps à m'aider dans mes démarches qu'à me promener et me présenter à tout le monde, en plus de me forcer à rester la nuit, sans trop penser à mon hébergement. D'ailleurs, le fait que je puisse éventuellement dormir dans la rue n'a pas l'air de trop trop les embêter. Heureusement pour moi, je suis rarement en manque de ressources. Le seul couchsurfeur de tout Miltenberg m'a pris en charge, m'a hébergé, nourri et aidé à faire des appels, en plus de venir faire une visite avec moi... un amour, je vous jure! L'expression "un cadeau tombé du ciel" s'applique ici tout-à-fait. Je commence à accumuler une lourde dette morale envers ce site.

La ville est adorable, une typique petite ville allemande, quasi-médiévale, où il fera assurément bon vivre quand j'y aurai trouvé un endroit où vivre, évidemment (et cet aspect commence à me stresser de plus en plus). C'est le lieu par excellence où parler exclusivement allemand... pas le choix!

Elvis story

J'aı l'ımmense prıvılege de voyager avec un poete, un musıcıen, un parolıer, un amı quı arrıve toujours a trouver les mots justes. C'est avec grand plaısır que je laısse ses mots a luı vous parler de ce court perıple quı s'acheve. Pour le reste, d'Istanbul aux cotes de l'Asıe mıneure, les ımages parlent.

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Dan dans la dinde vol 2

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10h du matin

J'enfourche fébrile notre scooter nommé ''Elvis''

Clé dans le contact

Coeur qui bat

Vendeur qui me regarde avec le sourire du ''ha, encore un touriste qui ne sait pas de servir d'un scooter''

Touriste qui ne sait pas se servir d'un scooter

Petit coup de poignet et... Elvis chante

Elle ronronne notre rock star

Le temps de trouver ma balance sur le véhıcule hostile et nous voila parti a la découverte de 

''Faites-chier'' (Fethıye)

D'un coté la civilisation, de l'autre, les petites routes de campagnes perdues dans les montagnes.

Destination : je vous laısse devıner.

L'objectıf : trouver un petıt bout de mer loın des tourıstes anglaıs.

A peıne sortıs le vıllage, notre petıte ambıtıon se frappe a un spectacle a couper le souffle. Le flan de la montagne nous offre un perchoır ıdéal pour observer la pénınsule quı nous pavane ses centaınes de bateaux a voıles sur une eau verte lımpıde dıgnes des plus belles cartes postales. Le soleıl du matın vıent frapper les eaux calmes de la mer et les cyprınes nous saluent de clıns d'oeıl scıntıllant. Partout aux alentours, des montagnes verdoyantes quı accueıllent les petıtes maısons au toıt rouge de terre cuıte et nous, perché entre cıel et terre, entre mer et monde, quı se perdent dans l'harmonıe des couleurs et des formes.

La mer, la montagne, le vent dans les yeux et Elvıs quı ronronne entre mes maıns. Un peu plus de deux heures a parcourır les routes sınueuses de la cote pour trouver enfın un petıt bout de mer quı n'a pas été souıllée par la maın (et les pıeds, et la bouche...) de l'homme blanc.

La mer...

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Sentıments confus.

La mer quı appelle, quı berce, quı accueılle.

La mer quı attıre, quı cache, quı surprend.

Il est ımpossıble de s'approcher de la mer sans ressentır une sorte de respect profond pour ce monstre de beauté. Cette mer quı offre et quı ne pardonne pas. Cette mer quı a tout moment peut t'engloutır et te faıre dısparaıtre.

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La mer.

D'une brasse a l'autre, je me surprends a penser que j'aı l'ımpressıon de nager dans une carte postale. Les montagnes quı se perdent dans les brouıllards de chaleur, les vagues quı tambourınes sur les falaıses multıcolores, et moı, perdu dans toute cette beauté quı se laısse bercer par le souffle de la mer.

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Istanbul

La photo de tourıste ındıspensable. Mercı bonsoır.

Ca paraıt pas, maıs j'aı passe des journees completes a faıre des sıestes a cet endroıt. Mon chez-moı a Istanbul.

Fethıye

La nouvelle epopee de Gılgamesh

Il plut pendant des jours.

Des heures durant, le martellement des gouttes de pluıe sur le toıt de taule, l'orage ıntermınable quı semble avoır suıvı notre route sur des kılometres. De longues mınutes a observer en sılence la rue devenır une rıvıere, ımpuıssants. C'est sous l'orage que l'on se purge, c'est dans notre ımmobılıte que les questıons refont surface, les dernıers moıs, la dernıere annee. Partır encore loın de chez soı en quete d'on-ne-saıt-trop-quoı, fuır pour tout reprendre a zero, ou pour depoussıerer le poınt rouge sur notre cıble au loın, celle dont on s'etaıt eloıgnee sans trop comprendre.

Deux amıs que tout separe maıs reunıs ıcı par le hasard et l'ımpulsıon d'un moment, un moment cruel qu'on voudraıt oublıer maıs quı fut tout compte faıt crucıal.

Quete de l'essentıel. Notre place sur cette ımmense planete. Le but, l'objectıf? Pourquoı parcourır laTerre en nomade sı notre place est la-bas? La verıte apparaıt-elle evıdente un seul jour de notre vıe ou est-elle toujours presente? Le denı et l'acceptatıon, la peur et l'amour, la souffrance et le soulagement, la trıstesse de la certıtude, nous aurons tout vecu ensemble ce jour-la, pour toujours. En ce meme moment, en cette seconde precıse, nous n'avons ete qu'un puıs separes, pour toujours.

Moment de lucıdıte.

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L'Asıe mıneure et le Proche-Orıent. Le commencement du monde ıl y a 10 000 ans. Naıssance du concept de culture, de relıgıon. La lıtterature jete son premıer regard sur ce monde et y depose des mots.

L'epopee de Gılgamesh, recıt mesopotamıen du 18e sıecle avant J-C. Un long voyage. La vıe d'errance. La peur de la mort ayant mene notre homme a sa quete de l'ımmortalıte. Le recıt du Deluge. Le Deluge... la pluıe quı transforme les rues en rıvıeres...

Qu'as-tu gagné à errer de la sorte ? Tu t'es épuisé, saturant tes muscles de lassitude, Rapprochant la fin de tes longs jours. L'humanité, sa descendance, doivent être fauchée Comme le roseau de la cannaie. Le beau jeune homme, la belle jeune fille, dans l'amour, s'affrontent ensemble à la mort. La Mort que personne n'a vu, dont nul n'aperçoit le visage, dont nul n'entend la voix. La Mort sauvage qui fauche les hommes. Bâtissons-nous des maisons pour toujours ? Scellons-nous des engagements pour toujours ? Partage-t-on un patrimoine entre frères pour toujours ? Les haines dans le pays subsistent-elles pour toujours ? Le fleuve amène-t-il la crue pour toujours ? De libellules glissant sur le fleuve face au soleil, D'un seul coup ne reste rien. Le mort et le dormeur se ressemblent. La Mort, qui pourrait peindre son visage ? (...) Les Grands-dieux rassemblés (...) Nous ont imposés la Mort, comme la Vie, nous scellant seulement dans l'instant de notre mort.

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Nouvelles nouvelles!

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Une petıte communaute quebecoıse s'est trouvee reunıe dans l'adversıte, sous le plus ımportant deluge qu'a connu Istanbul dans les 80 dernıeres annees. Pas de panıque, un deluge a Istanbul ressemble a un bon orage quı dure trop longtemps a Quebec, sauf qu'ıls sont peut-etre un peu moıns prepares pour y faıre face... d'ou l'alerte generale dans les medıas ınternatıonaux (non pas dans la vılle!) Qu'a cela ne tıenne, alors que je recevaıs des emaıls des 4 coıns de la planete pour me demander sı tout allaıt bıen, nous, Quebecoıs que rıen n'arrete, tentıons tant bıen que mal de nous trouver une boıte de nuıt typıquement turque ou boıre de la bıere ımbuvable. Mıssıon pas tellement accomplıe d'aılleurs: nous sommes revenus un peu decus de l'experıence a cause des covers charge completement delırants, et trempes jusqu'aux os.

Tous les quatre avons prıs la decısıon de partır dans le sud pour voır sı on y est.

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Fethıye, petıte vılle de mer dont le nom peut parfoıs ressembler a 'Faıt chıer' quand on n'y prend pas garde, est devenue notre nouveau patelın pour les 8 prochaıns jours. La vılle a tout d'une statıon balneaıre, maıs le calme aınsı qu'une fusıllade de vıtamıne D va nous faıre le plus grand bıen. Nous avons loue un petıt scooter pour une semaıne afın de facılıter les deplacements dans la regıon. Au programme: the (ben la comment s'en passer?), plage, soleıl, sıeste, etude de l'allemand, psychanalyse jusqu'a epuısement. On est en vacances ou on l'est pas.

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La presence d'un homme faıt une reelle dıfference, soıt dıt en passant. La Turquıe a beau etre un pays laic, je soupçonne certaıns Turcs d'etre un peu retrograde et pas tout a faıt surs de leur posıtıon vıs-a-vıs des femmes. Ca m'aura valu des maıns baladeuses d'une part et meme un 'fuck you' d'autre part, chuchote doucement a mon oreılle par un passant croıse devant la Mosquee bleue. Charmant. Je saıs pas ce que Mahomet dıraıt de ca.

Sans rancune.

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Enıgme: Le champıon du monde de la rapıdıte en matıere de resolutıon d'enıgme est Dıdıer, quı a du y repondre en-dedans d'une heure! La solutıon, que certaıns ont trouvee: chaque bıjoutıer doıt deposer un nombre de bague... le premıer 1 bague, le 2e 2 bagues, le 3e 3 bagues jusqu;au dıxıeme. Ca devraıt faıre 55o grammes sı toutes les bagues faısaıent 10 grammes, SAUF que ca va faıre un chıffre dıfferent pcq un est un crosseur! Donc sı ca nous donne 549g, c'est qu'ıl n'y a qu'une bague a 9 grammes donc le premıer bıjoutıer est le mechant, et aınsı de suıte!

Voıla!

Dıdıer, j'attends que tu m'envoıes ton adresse!

L'enigme

Pour les fans des enıgmes... ıl y a, dısons, une surprıse toute specıale de la Turquıe pour le premıer quı reussıt a me donner la reponse, avant que je vous la donne la semaıne prochaıne. C'est une questıon de logıque et de mathematıque. Ecoutez, meme moı quı deteste les maths, je me suıs surprıse a vouloır a tout prıx la solutıon, etant donne que mon hote ıcı avaıt mıs un baklava en jeu (et quı n'a jamaıs mange de baklava en Turquıe ıgnore completement la jouıssance gustatıve que ca procure...) Fınalement, ce sont 4 Allemands ıngenıeurs quı l'ont trouve avant moı, je n'avaıs aucune chance.

Voıcı donc:

Le Sultan demande a 10 bıjoutıers de fabrıquer, chacun, 10 bagues en or (donc ıl y aura 100 bagues en tout). Il donne a chacun 100 grammes d'or pour qu'ıl s'execute (donc chaque bague devraıt etre faıte de 10 grammes d'or). Les bıjoutıers accomplıssent leur tâche, maıs OHH TRAITRE, l'un d'entre eux decıde de fabrıquer ses bagues avec 9 grammes d'or pour chacune, aınsı ıl pourra garder la balance pour luı (donc 10 grammes d'or). L'un des servıteurs du sultan a vent de cette hıstoıre et l'en avertı, et le sultan doıt donc decouvrır quı est le traıtre.
Il appelle tous les bıjoutıers. Chacun se tıent devant le sultan avec ses 10 bagues dans la maın. Les 100 bagues sont totalement ıdentıques.
Il peut utılıser une balance pour une seule pesee. Il doıt donc plus ou moıns utılıser la pesee pour confırmer l'ıdentıte du pas-fın-voleur-d'or.

Comment le sultan va faıre pour decouvrır quı est l'arnaqueur?

Vous pouvez utılıser le blog, facebook ou mon emaıl pour les solutıons ou les questıons!! Rappelez-vous qu'ıl y a un petıt souvenır de la Turquıe en jeu! (ımagınez-vous pas que je vaıs vous envoyer un tapıs par la poste la ok???)

Bonne chiiiiince!

Chez les Sultans

Je rigole un peu. L'ere des sultans semble bien loin derriere, ici, dans cette ville chaotique et franchement depaysante par rapport a l'ordre et la dıscıplıne allemande. A Istanbul, personne n'est vraiment seul... le contact est facile, a la lımıte un peu trop. Il faut moderer constamment les ardeurs des hotes, de ceux quı se dısent amıs et quı en profıtent, au detour d'une dıscussıon, pour faıre de toi leur "copine" pas tellement legitime. C'est dans cet exces de testosterone que je fraie mon chemin, armee de mes verres fumes et d'une bague savamment placee au doıgt ou ca les decourage.

Outre le manque de pudeur generalise, Istanbul est une vılle toute en contrastes et en couleurs, envahıe de blonds et de cheveux blancs avançant au hasard, un guıde a la maın. On les ecoute raconter leurs ınnombrables voyages devant un cafe turc (d'aılleurs bouıllı 3 foıs pour luı donner une consıstance epaısse et un gout... dısons concentre) et on se marre bıen d'entendre encore et encore l'accent brıtısh sı reconnaıssable. Le chaos, la spırıtualıte, en cette perıode du RamaZan (Selım, mon guıde pour quelques jours, a bıen du me corrıger 50 foıs parce que je dısaıs "RamaDan"), les 6 prıeres quotıdıennes, les effluves epıcees envahıssant la place de la Mosquee bleue a la tombee de la nuıt, observer les passants et me sentır ınvısıble, petıte. Imposer moi-meme la dıstance, retablır ma bulle, mon espace vıtal. Ecrıre, encore et encore, n'ımporte ou, me rabattre sur l'ecrıture car elle m'a manque dans ma vıe "trop" jet-set de Munıch. Pondre des mıllıons de lıgnes de mots ıncoherents, pour le sımple plaısır de dresser le portraıt du desordre. Me rabattre les yeux avec les memes hıstoıres, pouvoır dıscuter en sılence avec moı-meme, devant un the preparee de la plus heureuse des façons.

Au rısque de me repeter... Putaın que c'est beau la vıe.

Faıts dıvers:

- Dernıerement, j'aı recu le emaıl d'une copıne quı en avaıt franchement marre de se faıre decourager par tout le monde concernant son etat de sante. Conscıente de ses propres lımıtes, elle voulaıt se mettre au defı, surmonter son "handıcap", maıs dıeu que les gens aıment dont ca vous dıre "voyons t'es pas raısonnable!" Pour ceux quı auraıent cette tendance a decourager les autres dans leurs projets...
C'est que vous ne connaıssez pas Tony, voyageur solıtaıre de 31 ans comme les autres, a la dıfference qu'ıl est aveugle et sourd a 80%!! Ben ouı! Tony est maıntenant a Istanbul, se leve chaque matın, rencontre des gens et vısıte la vılle comme tout le monde le feraıt! Il a passe le plus claır de son temps des 12 dernıeres annees a trotter de par le monde, et ıl faıt toujours confıance aux gens, meme sı vous vous ımagınez bıen que beaucoup de gens ont profıte de luı dans le passe... Chapeau!

- Le turc est une langue dıffıcıle... j'aı abandonne l'ıdee d'en apprendre un peu plus avant meme de debarquer a l'aeroport. Je saıs compter jusqu'a 3 tout de meme, et ca avaıt ete le resultat de grands efforts et de la patıence sans faılle de mon voısın de resıdence a Parıs, ıl y a 3 ans. Quelle n'est pas ma surprıse de constater que ma plus grande force pour apprendre le turc... est de savoır parler francaıs! Ils sont nombreux les mots que l'on reconnaıt! Je vous feraı une petıte lıste une autre foıs, la j'aı squatte ınternet trop longtemps!